L'abeille, chaque jour, butinait cette treille où toujours l'on soleille sous les parfums d'amour. Aujourd'hui, le cœur lourd, on la voit qui s'effraye : des ans, qui l'ensommeillent, elle entend le tambour. La muse secoureuse, intrépide et rêveuse, fit s'ouvrir tant de fleurs ! Vers elle en souvenance d'élans, beautés, bonheurs, chaude reconnaissance.
Petit hommage à Brigitte Célérier qui vient d’arrêter son blog Paumée.